Me soutenir

La meilleure façon de soutenir un auteur, c’est d’acheter ses ouvrages (en version numérique ou papier), de déposer son avis (bon ou mauvais) sur les sites de commerce (Amazon, Kobo, Fnac, 7switch, etc.) ou les sites communautaires de lecteurs (Babelio, etc.). Faire vivre les livres, en parler, et même les prêter, est par conséquent le meilleur service à lui rendre. À me rendre.

Parfois, le succès est lent à construire. C’est d’autant plus vrai dans la sphère littéraire, à une époque de surabondance, de surproduction, ou les oeuvres de qualité sont noyées dans une masse dont n’émergent que les best-sellers. Il faut souvent plusieurs années pour réunir un petit public de lecteurs fidèles et réguliers. Aussi, un soutien financier peut être le bienvenu, si vous pouvez vous le permettre. Pour ma part, vous pouvez m’offrir l’équivalent d’un pourboire ou d’un café, au rythme de votre choix. Vous pouvez me soutenir sur l’une ou l’autre des plateformes suivantes.

Pourquoi devenir l’un de mes mécènes?

Qu’allez-vous y gagner? Un accès anticipé à mes nouveaux ouvrages, des nouvelles régulières en avant-première, des indiscrétions en exclusivité. Pour les plus généreux et/ou fidèles donateurs, des versions papier de mes ouvrages.

Que vais-je y gagner? Un petit complément de revenus que je vais pouvoir investir dans mon activité d’auteur. Un site web sans publicité, le renouvellement des licences de logiciels d’écriture, ou encore un financement partiel de mes déplacements pour aller à votre rencontrer sur les salons littéraires.

Et ensemble, qu’allons-nous y gagner? Une plus grande proximité, de la complicité, de véritables échanges non biaisés par les aspects commerciaux. Une petite communauté. Et peut-être même une sincère amitié, comme avec certains autres de mes lecteurs.

Prêts à vous embarquer à mes côtés?

3 réflexions sur “Me soutenir

  1. La meilleure façon de soutenir un auteur, c’est d’acheter ses ouvrages (en version numérique ou papier)

    J’adorerais acheter plus de livres numériques, mais c’est une plaie de trouver des versions sans DRM. La plupart des boutiques ne donnent pas l’information ou la cachent en petits caractères dans un coin de la page. Et je n’en ai toujours trouvé aucune qui permet d’utiliser « sans DRM » comme un filtre de recherche.Le résultat c’est que je n’achète toujours que des livres en papier de bois d’arbre, mais je suis limité par la place sur mes étagères donc j’achète beaucoup moins de livres que ce que je souhaiterais.

    • Bon réflexe que d’éviter les DRM. Les livres des éditions du 38 n’en ont pas notamment via 7switch qui est le distributeur le plus sérieux et le plus éthique que je connaisse. C’est généralement la maison d’édition qui décide de la politique au sujet des DRM, rarement le prestataire.

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